mardi, mai 23, 2006

Ma première blague sur blog

Avis aux commentateurs, moi rédacteur de ce post je ne peux pas vous confirmer la qualité de cette courte (très courte) histoire qui prête à rire. Vous voilà informés.
Ça se passe chez un vendeur de journaux et de tabac. Il y a deux acteurs, le vendeur V et un client C.
C : bonjour
V : bonjour
C : je suis désolé mais je veux échanger des cigarettes que tu m’as vendu il y a une heure .
V : euh pourquoi ?
C : les cigarettes étaient très humides et m’ont fait mal à la gorge
V : ………………………

La morale de l’histoire :

Quand on achéte son poison préféré il faut toujours s’assurer de la qualité

A+

P.S. je ne suis pas un fumeur (^^)

mercredi, mai 17, 2006

KW

Tout d’abord , une précision nécessaire pour tous les esprits malins et malintentionnés, le titre ne veut pas dire KiloWatts.
Le W est pour le worker. C’est le travailleur, secret de la richesse et la prospérité du monde capitaliste (ne vous en faites pas on ne va pas utiliser longtemps la terminologie socialiste qui donne de l’urticaire à certains d’entre de vous).
Le K peut designer le knowldege. C’est tout à fait normale vu qu’on vit l’ère du savoir (langue de bois quand tu nous tiens) . La vie de l’homme s’est améliorée (même les condition de travail (^^)) .
On ne fait pas durer le suspens. Et pas non, dans ce post on parle du travailleur kleenex ou jetable ou plutôt dans un langage châtié le travailler flexible (gare au jeux de mots douteux).
Le travailler est déshumanisé et fait partie uniquement des statistiques. Il est perçu comme un coût qu’on cherchera toujours à minimiser voire carrément le faire disparaître. Le licenciement est devenu si banal. Certains parleront de la survie de l’entreprise, de la nécessité d’adaptation et de mondialisation. Ce sont des foutaises !
L’esclavagisme faisait changer les travailleurs par d’autres suivant le besoin en niant l’humanité des précédents. Dans la même optique, c’est ce qui se fait maintenant. Je concède que l’analogie est grossière mais qui de vous se sent libre dans son travail.
Le respect du travailleur n’est pas un choix mais une obligation morale. Je n’encourage pas la fainéantise ou la médiocrité mais je ne peux accepter de jeter les personnes comme des malpropres. La dignité est un droit inaliénable et ne peut être sujet à discussion.

A+

samedi, mai 13, 2006

Le retour du Jedi

Salut ,
Il y a des absences qui rappellent des anciennes présences. J'ai bien aimé lire les commentaires des bloggeurs fidéles à mon misérable blog!!!! Maintenant, je dois donc voir tous les anciens posts de la blogosphére et commenter !!!
Que la force soit avec vous!!!
A+
P.S. je ne supporte ni l'EST ni le CA donc j'étais tranquille hier!!!

mercredi, mai 10, 2006

désolé pour l'absence

salut tout le monde,
je n'ai rien posté depuis le permier mai étant donné que j'étais un peu occupé et sans idée intéressante ou "n'importe quoi" à discuter. j'éspere que je serai de retour dans la blogosphére ces jour-ci.
A+

lundi, mai 01, 2006

Les Tunisiens sont des imbéciles ! c’est évident !!

Je trouve surprenant que les tunisiens en général se considèrent comme trop intelligents par rapport et qu’ils sont très malins. Ceci est toujours démenti dans la réalité.
Je ne suis pas un lecteur assidu da la partie « faits divers » des journaux tunisiens mais je trouve amusant qu’il y a souvent des crédules qui se font arnaquer à cause de leur cupidité. Tant de « victimes consentantes » qui croient à l’existence des trésors cachés ou au fait qu’on peut faire « naître de l’argent », l’arnaque préféré des subsahariens (sic) !! L’autre arnaque classique consiste à faire miroiter un travail à l’étranger mais qui nécessite de payer certains frais (ton futur boss est tellement riche qu’il te fait payer).
Il y aura des gens crédules mais la cupidité légendaire de tunisiens les bernent et les fait tomber dans les piéges les plus évidents.
Le tunisien moyen n’est pas si malin que ça. Il croit seulement à ses propres mensonges. Un peu d’humilité lui sera d’un grand secours.

A+
P.S. il y a d’autres défauts mais ça sera l’objet d’un traité de milliers de pages environ.